Chris'in Pink

Trek Rose Trip
Le Cancer du sein, Parlons-en !

 

Une histoire, Une amitié, Une cause,
Ensemble dans le combat contre le cancer du sein.​

 

J'ai rencontré ce projet, un peu par hasard, et j'ai été séduite par leur audace, leur volonté et leur amitié.
Je suis heureuse de vous les présenter aujourd'hui.

 

 

Chris'in Pink ce n'est pas une femme (quoi que, vous comprendrez plus bas) mais 3 femmes. Plus précisément, c'est une association créée par 3 amies.

Elles, ce sont 3 femmes Elodie Mons, Sarah Bobate et Marie Buhry.
Elles sont amies de longue date.
Je les connais peu.
Je les ai découvertes, par hasard, via un de leur post Facebook.
Elles racontaient leur projet.
J’ai aimé leur amitié, leur solidarité, leur histoire et leur projet.
J’ai eu envie de les aider, à ma façon, en mettant un peu de lumière sur elles.
Leur histoire commence de façon plutôt banale.
Sur les bancs de la fac pour Marie et Sarah. Via leur ex-conjoint respectif pour Marie et Elodie
Quant à Elodie et Sarah, leur amitié se tisse au fil du temps.
Elles avancent toutes les 3 dans la vie d'un même pas : 1er enfant, puis deuxième, séparation, maman solo, nouvelle rencontre…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une amitié forte pour le meilleure comme dans le pire.

TOUT commence par un simple message !

En 2019, Marie découvre le trek rose trip.

Le défi et la cause font immédiatement écho en elle. Elle envoie un message à toutes ses amies en leur présentant ce trek et précise qu’elle a besoin de 2 co-équipières.
Elodie et Sarah sont les premières à répondre.
Elles feront partie des participantes au trek rose trip 2020 (finalement, Covid oblige, 2021!). Un grand défi pour ces 3 amies « non/peu » sportives !

 

 

 

Une fois l’inscription validée, un premier challenge commence : Récolter les fonds pour pouvoir financer la course et soutenir l’association « Le cancer du sein, parlons-en! ».

Elles créent une association afin de cadrer et crédibiliser leur projet.
Le nom coule de source « Chris » en hommage à la maman de Marie, Christine, décédée d’un cancer du sein, quelques années auparavant.

 

Elles ont pleins d'idées (évènements, actions...) pour récolter des fonds.
Elles démarrent par une tombola en décembre 2019.
Puis, coup de frein dû au covid. Confinement, incertitudes…
La course est finalement reportée à 2021.
Ce contre-temps n’atteint pas leur moral.

Elles redoublent d’efforts et d’idées pour atteindre leur premier objectif.

 

 

 

 

 

Elles sortent leur machine à coudre pour produire des masques et finissent, finalement, par produire des lingettes en coton qu’elles vendront pour leur cause.
Elles ont toujours en tête l’idée d’organiser un concert.
Le contexte sanitaire les freine mais finalement elles sautent le pas.
Le 10 juillet 2021, elles mettent en place un concert des Dandy Dolores dans un espace mis à disposition gratuitement par la marie de Latresne.
Le concert est un succès et rapporte une belle somme à l'équipe.

 

 

 

 

En plus de toutes ces actions, elles partent à la recherche de sponsors.
Elles décrochent rapidement l’entreprise «J’peux pas j’ai belle-ile ».
Puis, elles usent et abusent de leur réseau pour trouver de nouveaux partenaires.
Nouveau challenge relevé, elles embarquent plusieurs entreprises dans l'aventure :

 

 

 

- Harley Davidson Bordeaux

- Mode de Biche - Latresne

- So Chou B'

- Dandy Dolores

- La Mairie de Lastresne

- Cube in Life

- Gan Assurance Cabinet Nadia Echakir

- Crédit Mutuel du Sud Ouest Un grand Bravo à ces entreprises pour leur solidarité !

Le challenge d’avant course est relevé haut la main. Elles ont réuni suffisamment de fond pour financer la course et faire un don pour le Ruban Rose.

Cette fois plus de doute, elles seront sur la ligne de départ et participeront à la course.

J-8 avant le départ

Le départ pour le Maroc approche à grand pas.

Elles continuent les entrainements, se perfectionnent aux tracés d'itinéraires et peaufinent la maitrise de la boussole.

Elles s’envoleront toutes les 3, jeudi 28 octobre pour 4 jours de trek dans le désert de Merzouga.
Une fois installées dans leur bivouac, les organisateurs leurs remettront une carte avec 20 balises indiquées.
La course consiste à récupérer toutes les balises en faisant le moins de kilomètres possibles.
La première étape est de tracer son itinéraire à l’aide du rapporteur topographique pour définir le chemin qu’elles emprunteront le lendemain.
La deuxième étape, et pas des moindre, est de réaliser ce parcours à pied à l’aide de leur boussole.

 

 

 

 

Une autre subtilité non négligeable, certaines des balises sont réelles donc visibles car matérialisées via un drapeau alors que d’autres sont virtuelles ! Elles savent qu’elles sont sur une balise lorsque leur tracker sonne pour valider le point.

Bref, cette course nécessite de maitriser l’orientation, l'endurance et la persévérance.

Le dernier jour est consacré à un défi collectif.

Toutes les participantes s’entraident pour gravir ensemble une dune.

Cette ascension symbolise la solidarité et le courage, la force du combat contre le cancer.

Chris’in Pink, demain

Une fois la course terminée (et j'ai hâte qu'elles nous racontent ces 5 jours de course dans le désert marocain), l'association Chris'in Pink, comme la lutte contre le cancer du sein et pour la prévention, perdurera.

Elles ne savent pas encore sous quelles formes ou quelles actions elles mèneront, mais elles continueront, ensemble, à se mobiliser pour récolter des fonds pour le Ruban Rose.

Ensemble, tout est possible

Ces 3 nanas sortent de leur zone de confort et osent une aventure folle (à mes yeux) pour une cause forte et par amitié.

On pourra suivre leur aventure en live (ou presque) sur leur compte Facebook et sur la chaine RMC Story.

Vous pouvez encore les aider et soutenir cette cause, à travers elles et le trek rose trip 2021, en participant à leur cagnotte en ligne.

Et si l'aventure de ce trek vous tente, bonne nouvelle... les inscriptions pour 2022 sont ouvertes. Je m'inscris ici

Sarah, Marie, Elodie,

Je vous souhaite à toutes les 3 une belle aventure.

A très vite,


Vanessa Le Seviller

@Vanessakobido

J’ai découvert Vanessa et son univers professionnel lors de la retraite digitale Mademoiselle Pierre part en Live avec Elles & Canons.
Je suis admirative de son parcours atypique, tellement juste et aligné avec elle.
Une nouvelle femme inspirante que je suis heureuse d’accueillir au sein de la communauté Elles & Canons.

Photo Marina Bourdais

La rencontre d’une femme et d’un lieu

Je rejoins Vanessa au sein de l’emblématique @Satnam Club de Bordeaux
Elle m’attend dans leur salon devant les magnifiques fenêtres d’une hauteur incroyable.
Elle est en train de faire des photos de ses accessoires de travail (En bonne entrepreneuse, elle optimise chaque minute de son temps)

J’en profite pour observer ce lieu. J’aime chaque espace, chaque objet. Les moulures, la hauteur, les couleurs, la décoration. Un tout qui crée une atmosphère paisible. Un lieu où je me sens très rapidement bien.

J’observe Vanessa en pleine création.
Je suis marquée par son regard pétillant et son sourire chaleureux.

Nous nous installons autour d’un thé dans le canapé camel du Satnam.
Notre discussion peut commencer.

 

La Liberté d’être

Vanessa est une de ces femmes au parcours hybride (ce dont je suis fan). Globettroteuse dans l’âme, elle a aujourd’hui posé ses valises à Bordeaux où elle vit avec sa famille. Elle va et vient entre la ville et l’océan au volant de son van (autre point dont je suis fan) ou de son scooter.

Elle démarre sa carrière dans l’événementiel sportif.
À à peine 25 ans, elle part à Tahiti couvrir les championnats du monde de Surf.
Là bas, elle découvre l’importance du soin du corps et de l’esprit.
Lors de cette compétition, elle rencontre des athlètes de haut niveau avec une préparation stricte afin d’avoir la condition physique et mentale pour braver les vagues les plus dangereuses du monde.

Leur quotidien est rythmé par le quatuor : méditation, sophrologie, yoga, alimentation.
Vanessa adopte petit à petit ce mode de vie.

De retour en France, elle souhaite changer de voie. Le surf fera toujours partie intégrante de sa vie mais ne sera plus son travail.

Elle ressent un grand besoin d’indépendance, une recherche de sens.
Elle ne sait pas vers quelle profession se tourner mais elle a 2 critères forts : utiliser ses mains et pouvoir faire ce nouveau métier partout dans le monde.
Elle choisira la pratique de massage.
Elle enchaine des formations à l’étranger (Massage Thaï) et en France (Massage Ayurvédique)

Elle s’installe à Paris.
Elle exerce en indépendante.

Elle démarre avec des collaborations, des expériences et se spécialise dans le haut de gamme. Elle intervient dans les plus grands palaces parisiens. En parallèle de son activité, elle continue de se former.

Elle commence déjà sa spécialisation dans le travail du visage.
Son activité se porte bien.
Elle a un rythme de travail très soutenu depuis quelques années.
Elle ressent le besoin de reposer ses mains qu’elles sollicitent énormément tous les jours.

Vers une approche plus globale

Elle cherche une alternative.
Elle aimerait proposer une approche globale du soin;

Elle se forme à la sophrologie.

Elle propose par la suite des cours collectifs et des rendez-vous individuels de sophrologie.
Elle exerce dans les salles de yoga parisiennes.

Ce qui est incroyable à mes yeux dans le parcours de Vanessa, c’est sa capacité à se renouveler, en continuant d’avancer, sans renier son savoir-faire initial.

Grâce à l’écoute de son corps et de son intuition, elle change de cap avec une confiance et une sérénité déconcertante (en tout cas en apparence).

Elle opère un troisième changement de cap, après l’arrivée de ses enfants car elle ne peut plus assurer son rythme de travail initial.

Une nouvelle corde à son arc

Une fois encore, très naturellement elle sonde ce qu’elle aime, veut et peut faire. Etant pratiquante de yoga depuis de nombreuses années. Elle choisit de passer son 200h de professeur de Yoga.

Selon elle, « c’est simple » car elle a la connaissance de l’anatomie avec les massages, de la visualisation avec la sophrologie, et elle pratique le yoga.
Elle réussit sa formation et jongle désormais avec ses 3 casquettes qu’elle affectionne autant les unes que les autres.

Depuis 5 ans, elle continue son hyper spécialisation dans le visage. Aujourd’hui elle a une expertise confirmée, elle affine et diversifie ses techniques. Elle alterne l’acupression, les guashas, le manuel, les ventouses.

Début 2020, elle s’installe à Bordeaux. Dans un premier temps, elle garde sa clientèle parisienne pour maintenir son activité. En parallèle, elle démarre les premiers massages à Bordeaux.

 

La Méthode Renata et le Kobido

Elle se spécialise à la Méthode Renata Franca et au Kobido. (Pour la définition, je vous renvoie vers le site de Vanessa afin de lire ses mots si justes pour définir ces techniques)

Au delà d’un résultat physique obtenu grâce à des gestes spécifiques à votre visage, votre corps et adaptés à vos besoins, Vanessa propose une expérience énergétique de relâchement, de lâcher-prise. Un moment à vous pour vous déconnecter de votre quotidien et vous reconnecter à votre intuition.

Le « hasard » de la vie (toujours selon ses mots… pour moi c’est la reconnaissance de la qualité de son travail), l’amène à transmettre son savoir. Depuis quelques temps, Vanessa propose des formations à ses techniques de massage à Paris et à Bordeaux.

La prochaine a lieu à Bordeaux en octobre ! (et je crois qu’il reste des places) (Toutes les infos ici)

Vanessa est un esprit libre et inspirant.
Elle avance dans sa vie, dans son métier au gré de ses ressentis
Un regard extérieur peut voir un parcours décousu.
Un regard admirateur voit que tout son savoir-faire s’imbrique parfaitement, tout est juste et en parfaite adéquation avec elle.

Se libérer du regard extérieur pour avancer sereinement.

Retrouvez toute son actualité sur Instagram @vanessakobido et sur son site internet.

 


Ophélie Deltour - YogiChérie

YOGICHERIE

Ophélie, douce et lumineuse…

Ophélie fait partie de ces belles rencontres

Ces beaux moments plus ou moins éphémères qui transforment ta journée ou parfois ta vie.
J‘ai rencontré Ophélie à Hossegor lors d’une retraite qu’elle organisait avec Mademoiselle Pierre.

Elles ont contribué à ma renaissance;
J’ai été frappée par l‘aura d’Ophélie.
Son sourire naturel bienveillant et rassurant.
Elle est lumineuse.
Sa douceur, sa légèreté m’ont emportée

Ophélie et Stéphanie m’ont guidée sur un nouveau chemin.
Je les remercie chaque jour depuis.
C’est sa voix que j’entends lorsque ma voix intérieure murmure « saute et le filet apparaîtra» « tout est déjà là ! ». Merci !

Une âme d’entrepreneuse

Ophélie, bientôt trentenaire, a grandi dans la région toulousaine dans une famille d’entrepreneurs.

Sa maman tenait une boulangerie/sandwicherie à Toulouse. Elle lui a transmis le goût du travail jumelé à la liberté de l’entreprenariat.
Sur ce modèle, elle suit un cursus d’études classiques.
Son bac en poche, elle obtient une licence en éco-gestion et intègre une école de commerce à Marseille.
Elle n’a pas de projet précis mais elle sait qu’elle veut créer sa boite et ses études l’aideront.
Elle consacre tous ses projets d’études, ses stages aux entreprises où « tout est à faire ». Elle aime ce challenge, cette adrénaline.
A ce moment là, c’est l’éssor des starts-up, un premier objectif pour une entrepreneuse dans l’âme. Elle travaille déjà beaucoup, aime les responsabilités et adore cette autonomie.

Une âme de voyageuse

Ophélie profite de ses études pour lier ses 2 envies, entreprendre et voyager.

Elle fait un premier stage dans une entreprise basée à Hong Kong
Elle part seule dans un pays, une culture et un langue inconnus.
Elle découvre une nouvelle culture et rencontre le Yoga
Son stage au sein de l’entreprise se passe mal.
Elle va être obligée d’arrêter.
Ce qui lui offre du temps… du temps qu’elle passera dans une salle de yoga.
C’est la rencontre.
Elle découvre l’apprentissage du temps pour soi, comment prendre soin de soi.
Elle intègre à 100% l’univers, la culture, la philosophie du Yoga, qui à ce moment là de sa vie, lui évite une dépression.

De retour en France, elle continue sa pratique, à son rythme, selon ses besoins et ses envies.
Une opportunité pour un nouveau stage à l’étranger se présente rapidement.
Contre toutes attentes, elle choisit de réaliser un échange universitaire en Inde. Son classement aux examens lui ouvrait les portes des plus prestigieuses universités du monde mais elle choisit tout de même, l’Inde : Le berceau du Yoga.
Elle voit dans ce voyage l’occasion de découvrir l’essence de sa pratique tout en restant dans un cadre formel.

Le goût du challenge

Après ce voyage, elle choisit de faire son stage de fin d’étude dans une grande entreprise française. L’audace la pousse à postuler au sein d’une grande maison de Luxe parisienne.

À sa surprise, elle décroche le poste et intègre l’équipe de e-commerce. On est en 2015, le site est naissant. Tout est à faire !

Elle est maintenant parisienne. Elle est dans son élément et travaille comme si c’était sa boite. Elle a rapidement de bons résultats et intègre officiellement l’équipe en CDI et grimpe les échelons au fil du temps. Elle est maintenant responsable du service e-commerce de cette même maison de luxe.

Elle doit cette réussite à son investissement et à beaucoup, beaucoup, beaucoup de travail.

Le declic

Il y a 2/3 ans, elle se rend compte qu’elle n’est plus alignée avec ses envies profondes.
Elle travaille énormément. Consacre énormément d’énergie à cette marque.
Enchaîne un rythme qu’elle ne maîtrise plus métro/boulot/dodo
Elle se perd petit à petit.
Au milieu de ce rythme effréné que peu tiendrait, elle continue à pratiquer le yoga.

Sa pratique est salvatrice. Le yoga permet une bonne connaissance de soi et de ses limites. Ophélie a pris soin de ne pas les dépasser. Elle tient le rythme et évite le burn-out grâce au yoga et à l’écoute de son corps.

Elle décide de retrouver un rythme de vie plus sain.
Elle fait de la place dans sa vie perso. Se libère de tout ce qui la pèse et la bloque.
Elle écoute son besoin de reconnexion à elle-même.
Elle se recentre sur elle et place ses besoins au centre de son quotidien.
Elle accorde plus de place au yoga qu’elle pratique maintenant tous les jours.
Elle s’intéresse aux cycles des femmes, au féminin sacré, s’initie aux rituels de Lune.
Elle retrouve une début d’équilibre entre elle et son travail.

Yogicherie, la naissance

2020, le confinement.
Un fardeau pour beaucoup. Un nouvel élan pour Ophélie.
Elle découvre le télétravail.
Elle est seule chez elle. Elle a du temps…
Ce qui est un paradoxe car sa charge de travail augmente avec l‘envol du e-commerce face à la fermeture des magasins.

Ne plus être sollicitée par les équipes, le téléphone, les éléments extérieurs, lui permet de remplir ses missions tout en profitant des bienfaits d’un temps libre dans sa journée.

Un première envie la pousse vers la réalisation d’un blog autour du yoga, du bien-être.
Elle voulait transmettre l’effet salvateur du Yoga dans notre quotidien.

Immédiatement le nom, Yogicherie apparaît.
Elle l’a en tête depuis longtemps. C’est le surnom qu’on lui a donné lors d’une retraite de yoga à laquelle elle participait (et personnellement je trouve que ça lui va parfaitement !)

Les bases sont posées. Elle peut lancer le compte Instagram.
Elle rencontre encore quelques blocages, jusqu’à une belle rencontre :

Elle découvre Stéphanie @mademoisellepierreofficiel, lors d’une retraite digitale @namastrip.

Stéphanie fait un focus sur les entrepreneuses.
Ophélie se reconnaît et choisit de se faire accompagner.
Stéphanie l’aide à organiser sa vie entre son projet et son boulot salarié.
Ensemble, elles développent le projet, le formalise.
Yogicherie permettra d’allier le bien être et un travail intense.

Elle veut transmettre comment le yoga lui a permis de tenir ce rythme professionnel.

Elle veut prôner l’état d’esprit du yoga.

Puis lors d’une méditation, elle a un flash. Elle sera professeur de yoga.
Elle fait son 200H en digital (confinement oblige) avec @kula collective

Premier pas vers un nouveau chemin.

Tout est aligné… son entreprise lui accorde 4 semaines de vacances, validation totalement inattendue car habituellement non autorisée aux salariés… mais tout est là, fais confiance à l’univers.

Lors de cette formation, qu‘elle fait depuis le pays basque, elle a un nouveau déclic.

Elle ne veut plus vivre à Paris.
Elle souhaite s’installer à Biarritz.
Elle en parle fin Août 2020…

Yogichérie, aujourd’hui et demain

Une fois le processus engagé tout se met en place.

Elle organise sa première retraite à Hossegor avec MademoisellePierreofficiel (à laquelle j’ai la chance de participer).

Cette retraite c’est la concrétisation de son rêve
À la suite de ça, son projet s’affine. Elle crée une boutique en ligne.
Elle fait de nouvelles formations… coaching, féminin sacré, cacao.

Elle crée une palette de savoirs, propres à sa personnalité, pour offrir à chaque personne qu’elle guidera lors de rencontres ou de rendez-vous, une parenthèse bien-être, une reconnexion profonde pour mieux avancer.

Elle avait raison tout était déjà là…
Aujourd’hui elle est propriétaire de sa nouvelle maison… Devinez où?… à Biarritz !

En s’autorisant à y croire, à le visualiser, à le verbaliser, à l’imaginer, à le rêver, elle a enclenché le processus de la réalisation…

Belle vie à Yogicherie !

Retrouvez la boutique en ligne sur www.yogicherie.com et suivez son actu sur le compte Instagram @yogicherie

 


Gaëlle Dumora - Maison Conquête

Maison Conquête

Une rencontre aux portes du Médoc

Je prends la direction du médoc pour découvrir la belle Gaëlle.

Elle me reçoit chez elle, dans sa maison fraîchement rénovée.Dès le portail, je ressens une atmosphère apaisante.

La pièce de vie regroupe plusieurs espaces cosy (salon, lecture, repas…) avec chacun une identité propre qui s’harmonise parfaitement avec l’ensemble.

On s’installe dans le patio de l’entrée avec une vue directe sur la nature.

 

Gaelle, l’intuitive

Gaëlle est une bordelaise entrepreneure de 44ans, maman de 2 garçons.

Elle démarre sa carrière dans le monde de la finance.

Elle travaille plusieurs années pour des banques. Elle occupe différents postes à responsabilité.

Elle donne naissance à son premier garçon puis lors de sa deuxième grossesse, elle sent que la finance n’est plus en adéquation avec ses envies profondes.

Son intuition lui dit qu’elle ne retournera pas au LCL après son congès mat.

Elle s’écoute, démissionne sans savoir ce qu’elle souhaite faire par la suite.

Au fil du temps, le projet de Gaëlle se construit.
Des idées arrivent en désordre.
Une envie intérieure d’indépendance…
La vision d’un lieu…
Des créations françaises…
De l’innovation…
Un salon de coiffure…

Annoncé comme ça, ça n’a pas de sens !

Mais pour Gaëlle tout devient clair et évident.

Chaque idée est une pièce d‘un puzzle, qu’elle assemble aux autres.

En Août 2011, elle crée son concept store, rue Fondaudège à Bordeaux.

Elle réunit dans un lieu, des fringues, de la déco, des jouets fabriqués en France, des livres, des collections mamans/enfants et à l’étage un salon de coiffure !

A l’époque, cette boutique est une vraie innovation.

Son talent pour l’agencement, sa passion pour dénicher des objets, des meubles, des artistes qui ont du sens et son amour des livres font de ce magasin un lieu unique qui connait un beau succès.

Cette création est sa première connexion à son moi profond.

Elle a su être attentive à ses besoins réels, à son intuition et a eu le courage de suivre son ressenti sans savoir où menait ce nouveau chemin.

Le succès grandit

Des investisseurs la contactent pour ouvrir son concept store à Paris.
Sur le papier, ce développement commercial, c’est le graal mais intérieurement, il n’a pas de résonance.
Elle choisit de se faire aider pour trouver la meilleure stratégie pour allier le développement du projet et son bien-être intérieur. Elle choisit Céline Boura

Elle décide de ne pas donner suite à l’ouverture d’un magasin parisien.

En parallèle, elle divorce et se retrouve seule pour gérer la boutique et ses enfants en garde alternée.
Gros challenge quand on doit allier la gestion d’un commerce et des moments avec les enfants dans un même espace temps.

Terrain idéal pour l’entrée en scène de Madame la culpabilité !

La raison lui dit de vendre.
Mais elle a un attachement profond à ce lieu, à ces objets, à ces créateurs.
Elle imagine une refonte de ce magasin afin de garder le lieu et d’avoir du temps pour sa famille.
Le projet avance vite et stoppe net lorsque 2 protagonistes se désistent à quelques jours d’intervalles.

Gaëlle y voit un signe, écoute à nouveau son intuition et décide de vendre en 2019.

Elle prend du temps pour elle, pour sa famille, rencontre son amoureux, voyage.

Ce temps si precieux, de connexion à l’essentiel, lui permet de d‘entrevoir un nouveau puzzle.

Les premières pièces… son attachement fort au lieu, cette connexion profonde aux énergies des lieux…

Elle fait un premier pas en dénichant un lieu pour Céline Boura.
Elle a trouvé son nouveau chemin.
Elle se forme au Feng Shui, à la numérologie des lieux, au voyage dans le futur.

Ce sont les prémices de Maison Conquête

Elle définit et développe son projet avec l’appui de Stéphanie

Maison Conquête

Gaëlle, au travers de Maison Conquête, accompagne ses clients à créer/trouver un lieu qui leur ressemble.

Gaëlle sort des sentiers classiques.
Elle n’est ni agent immobilier, ni archi d’intérieur…
Elle n’a pas d’étiquette.
Elle est tout ça à la fois avec plein de cordes en plus à son arc.

Loin des dictats des décorateurs d’intérieur, Gaëlle agence les pièces d’une maison, d’un bureau en fonction des goûts, des valeurs, de l’histoire de ses clients.

Elle ne réalisera pas la maison vue mille fois dans les magazines, avec tous les codes hyper tendances.
Elle n’imposera pas « sa patte artistique ».
Elle trouvera les clés directement auprès de ses clients

Gaëlle part à la conquête des personnes pour dénicher leurs envies profondes et réelles pour les retranscrire dans leur lieu de vie ou de travail.

Elle reconnecte ses clients à leurs souvenirs, elle étudie leur univers, elle écoute leur histoire.Elle décrypte les bienfaits/méfaits des pièces maîtresses de leur habitation.
Elle les propulse dans le futur, dans leur lieu idéal.
Elle fait un travail profond sur eux, sur leur famille pour créer un cocon unique.

Maison Conquête démarre seulement.

Déjà, tout est là.

Maison Conquête, les lieux mais pas seulement !

Comme tous les cerveaux de créateur, Gaëlle bouillonne d‘idées.

De nouvelles pièces de puzzles viennent s’imbriquer tous les jours. Elles sont toutes différentes.

À première vue, elles n’ont rien à voir les unes avec les autres et finalement elles s’emboîtent toutes parfaitement.

Gaëlle ne peut pas créer sans intégrer son amour, sa passion des livres !

C’est inné chez elle. Les livres sont partout.
Je suis moi-même repartie avec un conseil de lecture !

Son site proposera prochainement un e-shop avec des livres et objets auto-édités.

La passion de la lecture va souvent de paire avec celle de l’écriture.
Vous découvrirez sur son site un ensemble de Mook sur l’entreprenariat, la poésie, la philosophie, la nature.

Enfin, Gaëlle traversera la France pour nous, pour aller à la rencontre de personnes brillantes, innovantes, audacieuses. Des personnes qui ont un attachement particulier à leur lieu (terroir, entreprise, maison) et/ou une activité, une passion surprenante.

Nous suivrons ses interviews sur son podcast.

Vous pouvez découvrir son univers sur instagram @maisonconquete et prochainement sur son site internet www.maisonconquete.fr

Encore une fois, tout était là…
Tout est là !
Accepter de s’écouter
Suivre son intuition
Faire confiance à la vie
Patienter
Pour créer un projet aligné à soi

Merci Gaëlle pour ce parcours inspirant.

 


Charlotte Breton - SAMO

In PORTRAIT3 mai 20217 Minutes

PORTRAIT

Rencontre avec l’art

Charlotte m’accueille devant un grand portail en bois bleu au cœur du quartier des Chartrons.
On passe l’entrée et je découvre un lieu improbable.
Je tombe immédiatement sous le charme de cet atmosphère.
Nous sommes au cœur d’un espace de co-working pour artistes/créateurs.
Nous croisons un ébeniste, un architecte, un coin café et nous arrivons dans son espace.
 
Elle loue ce lieu depuis seulement quelques semaines.
Elle s’installe petit à petit.
De but en blanc, avec mon regard extérieur, il y en a partout (livraisons, production, préparation, administratif…) Puis, Charlotte m’explique sa vision de son atelier. Au fil de ses explications, je réalise que rien n’est laissé au hasard. Dans sa tête tout est clair. Elle est en train de réaliser l’atelier qu’elle a imaginé en louant cet espace. Chaque m2 est pensé et optimisé pour travailler dans les meilleures conditions.
Un coin préparation de commande, un espace production, un lieu de stockage… Ce que je percevais comme une pile de cartons encombrants est en fait « le graal » (les verres de ces bougies qu’elle attend depuis un moment pour honorer ses commandes) et aura une place dédiée dans la zone de production.
J’observe cet endroit, les matières, les odeurs.
J’observe cette jeune femme, sa voix, ses gestes.
Je suis sous le charme du lieu, de l’atelier et de Charlotte.
 
Je m’installe à son bureau, pendant qu’elle, assise par terre, range son matériel dans un meuble tout juste monté.

Charlotte, l'autodidacte

Charlotte a grandi en Picardie, puis à Paris
Elle fait des études de photographie.
Son diplôme en poche, elle comprend que la photo est une passion (qu’elle partage avec son papa) mais pas une vocation.
Elle a réalisé une série de photo d’architecture abstraite dont plusieurs professionnels reconnaissent la qualité et lui suggèrent d’exposer.
Elle fait le tour des galeries d’art de France et d’Angleterre (où elle part s’installer quelques semaines pour finalement y rester plusieurs années).
Elle essuie refus, sur refus à coup de « trop » et « pas assez » : « trop jeune », « pas assez expérimentée », « trop femme », « pas assez connu »…
 
Installée en Angleterre dans une coloc, une première rencontre lui permet de devenir webdesigner. Elle se forme seule sur différents tutoriels et crée des sites internet.
 
Les réactions des galeries et sa découverte du webdesign, la mènent sur un premier projet.

SAMO, l’art en ligne

SAMO, une galerie d’art en ligne.
Elle crée la boutique en ligne en 2014.
Son concept, associer des oeuvres d’artistes à des objets du quotidien (coussins, fringues, bougies…).
Elle a un réseau d’artistes créé lors de ses études et sait gérer un site et mettre en valeur les oeuvres au travers de ses photos.
 
Charlotte est une passionnée d’Art en tout genre. À ce moment là, elle dévore tout ce qui concerne le peintre Basquiat.
Cet artiste, pionnier du graffiti, signe toutes ses créations « SAMO »
Elle a trouvé son nom !
 
Samo démarre et prend rapidement un bel envol.
Son premier succès sont des œuvres imprimées sur des tee-shirts.
 
La galerie grandit, « vivote », lui demande un très gros investissement personnel pour tout gérer sans une grande rentabilité.

SAMO, la transformation

Une nouvelle rencontre pour une nouvelle opportunité.
Celle de présenter son concept « en vrai » sur un salon, le Man and Woman.
 
Elle reproduit sa galerie en ligne sur un corner du salon.
Le salon est un échec
Elle fait une introspection sur son activité et ses envies réelles.
Les visiteurs ne comprennent pas son offre.
Elle simplifie et surtout, elle se focalise sur ce qui l’anime vraiment… Les bougies.
 
À l’origine, elles sont proposées dans des petites boites en métal et les étiquettes sont réalisées par des artistes de la galerie.
 
Elle renouvelle l’expérience lors du Who’s Next l’année suivante.
Cette fois, le succès est au rendez-vous.
Coup de coeur général des visiteurs pour ses bougies.
Rupture de stock avant la fin du salon !
 
Tout comme elle apprend de ses échecs, elle apprend de ses succès.
 
Elle constate que les gens sont plus attirés par ses senteurs que par le visuel des étiquettes.
Elle arrête les collaborations avec les artistes et se focalise sur les senteurs.
 
Elle crée sa première gamme de senteurs naturelles.

SAMO, L’avenir

Aujourd’hui, elle a développé une gamme permanente de bougies et de brumes, qu’elle commercialise en France, en Europe et aux Etats-Unis.
 
Mais Charlotte n’est pas du style à se contenter d’une réussite.
Créer est son essence.
 
Elle lancera prochainement des gammes « éphémères ».
 
Très vite, vous découvrirez une série de bougies estivales… j’ai eu la chance de les voir. Je peux vous dire qu’elles sont juste canonissimes (je sais, ce mot n’existe pas mais je l’adore et pour cette collection, canon est trop léger !)
 
Et en juin, elle lance une gamme basée sur la Chromathérapie.
Elle ne travaille plus sur les odeurs mais sur le bienfait des couleurs.
Elle va colorer vos maisons et apporter de l’émotion dans vos foyers!
 
Charlotte ne s’arrête pas là !
Elle se forme à l’aromachologie.
Sa passion des plantes et son immense connaissance suffisent à démarrer une gamme mais pour plus de « légitimité », elle entreprend en parallèle de son activité, une formation « officielle ».
Elle prépare une surprise pour septembre…
 
 
Son Mantra
« Je me lève et je fonce »
 
 
 
Retrouvez toutes les créations de Charlotte sur son site SAMO PARIS et sur son compte instagram @samo